LA SITUATION EN ESPAGNE

Publié par Ges   // 12 janvier 2025   //

Nous relayons ce texte d’un sympathisant espagnol, qui a l’intérêt de nous montrer que les problèmes liés à la misandrie ne sont pas un phénomène spécifiquement français, et qu’ils sont même plus prégnants encore dans d’autres pays développés.

 

La lutte contre l’idéologie de genre ne fait que commencer

 

En Espagne, nous sommes champions de la soumission par rapport à l’idéologie de genre et du féminisme suprémaciste ! Il n’y a qu’un seul parti (VOX) diabolisé car étiqueté d’extrême-droite qui ose demander l’abrogation des lois anticonstitutionnelles de 2004 qui donnent toujours raison aux femmes par rapport aux hommes en cas de conflit conjugal.

(Pour rappel historique pour les journalistes français ignorant l’histoire récente de l’Espagne, le parti unique de Franco s’appelait la Falange et est toujours légal mais n’a aucun élu. De plus, VOX est une scission du Parti Populaire (équivalent du parti Les Républicains)).

Le PP a décidé de ne pas toucher aux lois sur l’idéologie de genre, ni aux lois animalistes ubuesques, ni aux lois sur la transexualité des jeunes à partir de 16 ans, ni à celles sur la promotion de l’idéologie LGTBIQ+ dès l’école primaire, lesquelles nous viennent de l’Union Européenne,  et permettent l’intoxication idéologique à un âge (l’adolescence) où on se cherche.

97% de l’argent que l’Espagne reçoit de l’Union Européenne n’arrive pas aux femmes maltraitées par leur mari/conjoint. Où va le reste ? Chez tous les organismes parasites créés pour endoctriner la population sur le fait que l’homme (vir) possède dans son ADN la violence contre les femmes (mulier). Le ministère de l’Égalité a un budget de 500 millions d’euros pour financer de gros salaires à des personnes fanatiques de cette idéologie (120.000 € par mois plus frais de fonction) qui nous racontent à la télévision aux heures de grande écoute comment on doit se masturber.

Par conséquent, il est juste juridiquement que lorsqu’un homme agresse une femme, ce soit un délit, puni d’une peine de prison avec sursis généralement (si l’homme n’a pas d’antécédents), mais, à l’inverse, lorsqu’une femme agresse un homme, c’est en légitime défense, donc c’est une faute, punie par une amende. On piétine l’égalité des êtres humains face à la loi. Il faut remonter aux lois nazies sur le droit d’auteur pour trouver quelque chose de comparable.

 

Résultats:
* 200.000 arrestations sont réalisées par la police chaque année. L’homme est emmené au cachot, sur simple plainte de la femme, sous les 48h, sans ordre judiciaire et y demeure jusqu’à ce qu’un juge se libère. On piétine la présomption d’innocence.
* 80% des hommes arrêtés sont relâchés sans condamnation, mais souffrent d’un traumatisme énorme car on a violé leurs droits les plus élémentaires et leur dignité. Ils n’ont droit à aucune aide psychologique de la part de l’État.
* Parmi les 20% condamnés, la plupart d’entre eux sont, comme par hasard, en instance de divorce, l’épouse obtenant automatiquement la garde des enfants, le logement, une pension alimentaire du mari/conjoint sous peine de rester en prison + des aides de l’État, pourquoi se gêner? Si elle n’est pas au courant des lois, l’Institut de la Femme et son avocat sont là pour l’informer. Il n’est pas sûr que le père revoie ses enfants et qu’un processus de syndrome d’aliénation parentale ne commence à se développer.
* Le nombre de femmes tuées dans ces circonstances n’a pas diminué depuis l’application de la loi (loi intégrale contre la violence de genre). Il varie entre 60 à 70 par an.
* On ne publie pas de chiffres quant aux nombres d’hommes tués par leur épouse/conjointe. Pourtant la presse locale et Internet n’ont plus peur d’informer à ce sujet. On estime que le nombre de suicides d’hommes liés à cette loi et au fait de ne pas pouvoir visiter normalement leurs enfants est de 3 par jour.
* On ne publie pas de chiffres quant aux infanticides (bébés trouvés dans les poubelles, enfants tués parce que la garde a été attribuée au père), parricides, fratricides.
* Le PSOE plus ses amis d’extrême-gauche font de ces sujets un argument électoral. Le PP, complexé, ne mène pas de guerre idéologique et, par son silence, cautionne le pouvoir en place. Auraient-ils (PSOE et PP) peur de perdre l’argent qui provient de l’UE et qui sert à arroser leurs clientèles respectives? Est-ce cela la démocratie ?

 

Conclusion : Un désastre humain quand on veut faire des expériences sur la population.

 

J’espère qu’en France, vous saurez comprendre que ces lois ou modes ne sont pas irréversibles et que vous pourrez prendre la tête de la reconquête des idées.

 

Daniel Guijarro
Madrid