Qui nous sommes

31 juillet 2012   //

 

Le GES a été créé le 1er octobre 2008.

Extraits de l’article 1 des statuts (objets) :

– produire et communiquer de l’information sur les sexismes ;

– promouvoir et mener des actions de tous ordres en vue de combattre l’influence des sexismes.

Une philosophie : l’égalité des sexes en droits, en devoirs et en dignité.

 

 

La dernière Assemblée générale du 16 décembre 2017 a élu le Conseil d’administration, qui comprend :

Alexis Chabert

Patrick Guillot : président

Stéphane Saga : trésorier

 

HISTORIQUE

18 octobre 2008 : à Bruxelles, dans le cadre du congrès Hommes : état des lieux, animation d’un atelier sur le thème : « Ni miso ni misandre. Comment parler des hommes et des femmes en dehors des idéologies ? »

20 octobre 2008 : première saisine de la Halde

2009 : publication de la première Plate-forme de propositions, qui sera mise à jour chaque année

15 décembre 2009 : première saisine du CSA

fin 2009 : ouverture du blog g-e-s.over-blog.com

4 mars 2010 :  rencontre avec un conseiller du Ministère du Travail (délégation commune avec Sos Papa)

février-juin 2010 :   intervention auprès des parlementaires (sénateurs et députés) en faveur de la désexuation du texte de la Loi relative aux violences faites spécifiquement aux femmes (…)

17 avril 2010 : lancement du Manifeste pour la désexuation des politiques de lutte contre les violences

1er octobre 2010 : rencontre avec le directeur général de la Halde  (délégation commune avec Sos Hommes battus)

novembre 2010 : publication du livre La misandrie. Histoire et actualité du sexisme anti-hommes.

22 mars 2011 : envoi du  Manifeste pour la désexuation, avec les signatures, au Premier ministre, au ministre de l’Intérieur, au Ministre de la Cohésion sociale et des Solidarité

29 juin 2011 : première saisine du Défenseur des droits

juin 2011 : publication de la première brochure papier de présentation

novembre 2011 : participation à la Quinzaine de l’égalité organisée par le Conseil régional Rhône-Alpes : conférence à La-Roche-sur-Foron sur le thème « Inégalités, discriminations, les hommes en sont-ils eux aussi victimes ? »

fin 2011 : soutien à la campagne pour la suppression de la mention « Mademoiselle » dans les documents administratifs (passée dans la loi en février 2012)

janvier 2012 : envoi du Questionnaire aux candidats à l’élection présidentielle

8 mars 2012 : participation sur LCP à un débat sur l’égalité hommes-femmes

18 juillet 2012 : rencontre avec l’adjointe au Défenseur des droits, chargée des discriminations

septembre 2012 : fermeture du blog, ouverture du site g-e-s.fr

13 octobre 2012 : participation à la 2e Quinzaine de l’égalité organisée par le Conseil régional Rhône-Alpes : conférence à Lyon sur le thème «Les hommes battus : qui sont-ils ? Comment les aider ?« . Curieusement, l’annonce de la conférence  a « buggé » dans le programme papier. D’autre part, un groupe de misandres empêche le démarrage de la conférence par des perturbations sonores, puis se retire dès l’apparition d’un policier. Celle-ci se déroule ensuite normalement.

18 février 2013 : peu après le début de l’action de Serge Charnay à Nantes, le GES rappelle son soutien au mouvement des pères. Il rejoint le Collectif La Grue jaune, qui regroupe des associations de parents privés de leurs enfants, et apporte son concours à de nombreuses actions. Dès lors, il est associé à ce mouvement dans plusieurs médias nationaux, comme L’Express, le Nouvel observateur, Politis, etc.

8 mars 2013 : participation sur France 3 à un débat sur l’actualité du féminisme

septembre 2013 : intervention auprès des sénateurs en faveur de la désexuation du Projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes

23 juin 2013 : cédant vraisemblablement à des pressions, la (3e) Quinzaine de l’égalité du Conseil régional Rhône-Alpes refuse sans motif le projet de conférence présenté par le GES… lui reprochant la perturbation créée l’année précédente par ses adversaires.

12 octobre 2013 : conférence à Lyon, avec Serge Guinot, sur le thème Les hommes aussi sont victimes de violence conjugale (hors Quinzaine de l’Egalité). Sont présents des documentaristes de France 2 (Infrarouge) et France 5, qui viennent alimenter leurs projets. Le quotidien Le Progrès publie un entretien avec Serge Guinot.

octobre-novembre 2013 : recherche de témoins acceptant d’apparaître dans les deux projets de documentaires, et aussi dans un projet de France 5 sur les paternités imposées.

décembre 2013 : intervention auprès des députés en faveur de la désexuation du Projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes

7 mai 2014 : suite à une saisine du GES et pour la première fois, le CSA reconnaît que France Télévisions occulte les violences faites aux hommes dans ses documentaires sur la violence conjugale.

juillet 2014 : pour la deuxième année consécutive, la (4e) Quinzaine de l’égalité du Conseil régional Rhône-Alpes refuse sans motif le projet présenté par le GES.

10 décembre 2014 : interpellation par courrier du Défenseur des droits, concernant la publication de son Enquête sur le harcèlement sexuel au travail, publiée le 8 mars, et dont la méthodologie est biaisée.

13 janvier 2015 : diffusion sur France 5 du documentaire de Loraine Debaisieux sur les paternités imposées, Sois père et tais-toi. L’un des témoins s’exprimant à visage découvert, Mathieu, a été mis en relation avec les réalisateurs par l’intermédiaire du GES.

février 2015 : publication du livre Ma compagne, mon bourreau de Maxime Gaget (Michalon). Maxime Gaget, qui avait demandé à figurer dans le fichier du GES, avait répondu favorablement à l’annonce des documentaristes d’Infrarouge (voir 10 octobre 13) diffusée au dit fichier. Ayant commencé à travailler avec lui, ceux-ci l’avaient mis en contact avec l’éditeur Michalon. Il s’agit du premier livre-témoignage francophone d’un homme victime de violences conjugales, et le GES soutient désormais son auteur dans ses divers combats.

26 mars 2015 : pour la troisième année consécutive, la (5e) Quinzaine de l’égalité du Conseil régional Rhône-Alpes refuse le projet présenté par le GES, lequel consistait en une conférence de Maxime Gaget. Le GES maintient ce projet, et l’élargit à une demi-journée d’information.

mai 2015 : adoption du logo, créé par un adhérent, J-J R.

10 octobre 2015 : à Villeurbanne, Demi-journée d’information sur les violences conjugales, comprenant la conférence de Maxime Gaget : Pourquoi je ne suis plus un « homme battu ».

février 2016 : à Puilboreau (Parking Leroy Merlin) et Bessan (Parking Intermarché), début et succès de la Campagne pour la désexuation des places de parking

septembre 2016 : le GES candidate à la campagne Sexisme pas notre genre du Ministère des Familles et des Droits des femmes, pour la labellisation de sa Campagne pour la désexuation des places de parking. Cette candidature est rejetée sans motif le 9 novembre. La saisine du Défenseur des droits du 24 novembre est également rejetée sans motif.

février 2017 : envoi du Questionnaire aux candidats à l’élection présidentielle

décembre 2016-2017 : sollicité par la famille d’un enseignant de Genlis (Côte d’Or) faussement accusé d’agression sexuelle sur une élève de 4 ans, le GES apporte sa compétence, puis, en juin 2017, questionne officiellement les incertitudes de la procédure. L’enseignant obtient l’annulation de sa mise en examen le 15 novembre 2017.

décembre 2017 : lancement de la pétition Président Macron, rendez hommage AUSSI aux hommes victimes de meurtre conjugal ! (envoyée le 8 mars 2018)

25 février 2018 : intervention au colloque de Aequitas (La guerre des genres aura-t-elle lieu ?), auquel participe Geneviève Fraisse, sur le thème « Les hommes sont-ils tous des violeurs ? ».

juin 2018 : publication de Misogynie, misandrie : il y a deux SEXISMES, Patrick Guillot, Editions De Varly

avril 2019 : sous la forme de deux témoignages, le GES contribue à la publication de l’ouvrage collectif La violence existe aussi au féminin (H§O).

septembre 2019 : prise de position contre la PMA-sans-père / Le GES candidate au Grenelle des violences conjugales, mais ne reçoit aucune réponse.

août 2022 : nouvelle Campagne pour la désexuation des places de parking à Saintes (M.Bricolage et Intermarché)

15 décembre 2022 : participation à une saisine du JDP concernant un affichage sexiste de l’US Feurs. Soutien obtenu par le JDP le 13 mars 2023.

juillet 2023 : A Saintes, succès de la campagne « pour la désexuation des places de parking » auprès de l’enseigne M.Bricolage

mars 2024 : le GES appelle à soutenir la liste Défendre les enfants qui se présente aux élections européennes, après avoir constaté une nette convergence du programme de celle-ci avec sa « Plate-forme de propositions ».